account_circle
Register
menu
person
Premium Avatar
Kyqu në
Register
Thierry Ascione
65
1
0
0
0
Roger Federer
7
6
0
0
0
Latest flashs flash
Zverev pris en flagrant délit de triche ? Pas de conclusion trop hâtive. Une scène fait actuellement le tour du monde, le toss d'avant-match du quart de finale de Roland-Garros entre Alexander Zverev et Alex De Minaur (voir vidéo ci-dessous). On y voit l'arbitre de chaise, le Français Damien Dumusois, demander à l'Allemand de choisir une face de la pièce qui va être jetée pour désigner lequel des deux adversaires aura la priorité pour choisir soit le côté du court où il va débuter, soit s'il commence le match au service ou non. Zverev énonce son choix très clairement "Ball" (la face avec le dessin d'une balle). Mais au moment où l'arbitre de chaise récupère la pièce et annonce que c'est la face "raquette" qui est retombée dans le bon sens, le n°4 mondial répond "j'avais dit raquette". Il gagne ainsi le tirage au sort et choisit de laisser De Minaur servir. Évidemment, le premier réflexe au vu de la scène est d'être outré par le fait que Zverev puisse tricher de manière aussi détendue et flagrante. Il s'agit toutefois de ne pas s'emporter à tirer des conclusions trop hâtives sur les intentions supposées de l'Allemand. Pour prendre un peu de recul, nous rappellerons simplement que la pression et le stress sont à leur comble avant un tel match et que ça n'est pas le moment propice pour avoir les idées claires. Il suffit d'avoir connu le type de situations de stress pouvant se rapprocher de celle-ci pour en être convaincu. Il est donc également possible que Zverev n'ait pas du tout eu l'intention de tricher et se soit simplement mélangé les idées en raison du stress important. Et il ne s'agit que d'une hypothèse parmi probablement beaucoup d'autres possibilités. D'autant qu'il aurait été particulièrement stupide de sa part de se prêter à cette petite tentative dans ces conditions. D'abord car les enjeux du toss sont minimes, surtout dans un match au meilleur des 5 sets. Et ensuite, car il savait pertinemment que Damien Dumusois était équipé d'un micro allumé et que des caméras diffusant leurs images dans le monde entier étaient braquées sur lui. Chacun se fera son propre avis mais il s'agit de savoir mesure garder. Zverev est probablement le seul à détenir la vérité sur cette affaire.
Roland Garros Junior : Moïse Kouamé, une étoile montante du tennis français ? On le sait, le monde du tennis est toujours à la recherche de nouveaux talents. De joueurs capables de secouer la hiérarchie établie et d'apporter de la fraîcheur au circuit. Or, en 2024, un jeune joueur commence à faire parler de lui : Moïse Kouamé. A seulement 15 ans et trois mois, ce prodige franco ivoirien suscite déjà l’enthousiasme et les comparaisons avec les plus grands. En effet, invité par les organisateurs, il est allé jusqu'en quart du tournoi (défaite 6-3, 6-2 contre le Polonais Tomasz Berkieta). Interrogé sur son avenir en conférence de presse, le jeune tricolore a fait preuve de réalisme : "Comme tout joueur de tennis, je rêve d’être numéro un mondial.  Après, est-ce que j’en ai les capacités ? On verra plus tard". 
Zverev n’est plus poursuivi par la justice : un accord à l’amiable a été trouvé ! Juste avant sa demi-finale de Roland-Garros, face à Casper Ruud, Alexander Zverev vient, contre toute attente, d’être débarrassé de ses soucis judiciaires. Pour rappel, le joueur allemand était accusé de violences conjugales à l’encontre de son ex-petite amie Patea, pour des faits datant de 2020. D’après nos confrères allemands de “Die Welt”, le procès en appel, entamé à Berlin il y a quelques jours, a pris fin brutalement. En effet, un accord à l’amiable aurait été trouvé, entraînant ainsi la clôture de “l’affaire Zverev”.  Visiblement, aucune reconnaissance de culpabilité n’aurait été obtenue et Zverev ressort donc de cette affaire blanchi, du moins officiellement. Ne cessant de clamer son innocence en conférence de presse, le joueur d’1,98m avait, depuis le début, affiché beaucoup de confiance quant à l’issue du procès. Ainsi, le champion olympique va aborder sa fin de tournoi la conscience plus ou moins tranquille : la justice allemande en a fini avec lui.  Pour ce qui est du détail de ce fameux accord, “Die Welt” nous révèle que le joueur de 27 ans devra régler 200 000 € de frais judiciaires, dont 50 000 seront destinés à des associations caritatives. À cette somme, s’ajoute bien sûr une indemnisation versée à son ex-compagne, dont le montant n’est pour l’heure pas connu.  Si l’affaire est officiellement terminée, on peut facilement penser que tout cela va encore beaucoup faire réagir. Certains verront probablement cette décision comme une reconnaissance de l'innocence de Zverev. Cela dit, d’autres risquent de voir cet accord à l’amiable comme une preuve irréfutable de sa culpabilité. Une chose est sûre : les débats risquent de continuer à faire rage parmi les aficionados de notre sport ! 
Zverev nous explique tout : "Mon père m'a éduqué à l'espagnole" Alexander Zverev, qui défie Casper Ruud ce vendredi en demies de Roland-Garros, s'est régulièrement vu reprocher son trop grand attentisme sur les terrains de tennis. Alors qu'il possède des capacités offensives indéniables, l'Allemand se laisse souvent embarquer dans des points à rallonge, jouant les essuie-glaces en fond de court. Très étonnant pour un joueur qui mesure presque 2 mètres (198cm/6'6") et pèse 90 kilos (198 lbs). Mais cette option tactique surprenante ne doit rien au hasard. Elle trouve son origine dans les jeunes années de Zverev, lorsque son père, qui a toujours été son coach, l'a poussé à développer les qualités athlétiques qui sont les siennes aujourd'hui. C'est ce que nous a expliqué, non sans humour, le n°4 mondial après sa victoire sur Alex De Minaur en quarts de finale (voir vidéo ci-dessous). Alexander Zverev : "J'ai de la chance, j'ai un coach qui est mon père, qui ne pourrait pas moins se préoccuper de comment je me sens. Donc, depuis que j'ai 3 ans, il me dit 'cours par ici, cours par là, cours pendant 4 heures de suite'. Et il oublie parfois que je mesure 2 mètres et que je peux aussi frapper des services à 230 km/h (143 mph). Mais il m'a définitivement éduqué à la manière espagnole (rires). Courir après tout et remettre la balle dans le court. Et parfois ça paye. J'aimerais être plus agressif dans mon jeu des fois, mais si je gagne, je suis content. Je suis en demi-finales et c'est tout ce qui compte."
video Latest video + all
00:49
702 missing translations
Please help us to translate TennisTemple